Suite à la dissolution de l’Assemblée nationale par le président, le risque de voir l’extrême droite parvenir au pouvoir a amené les centres sociaux et socioculturels à construire des alliances et à publier des textes de positionnement faisant état de l’incompatibilité du programme proposé par les formations d’extrême droite et les valeurs et principes défendues par nos structures.
À Paris, deux visios d’échanges organisées par la fédération ont permis aux acteurs des centres parisiens d’échanger sur les actions mises en places et les difficultés rencontrées pendant la période.
Ainsi, le réseau parisien s’est mobilisé afin d’accompagner les citoyen-ne-s au vote, en mettant à disposition de l’information sur les modalités de vote et les processus de procuration.
Par ailleurs, certains adhérents ont organisé des débats permettant de prendre du recul et de s’informer sur les enjeux. Enfin, au quotidien, dans le cadre de leurs activités habituelles, les centres sociaux ont joué leur rôle d’animation de la vie sociale en permettant à des habitant-e-s souvent désorienté-e-s et très inquiet-e-s de pouvoir exprimer leur désarroi et trouver du réconfort dans l’expression de solidarités.